Cette première étape est essentielle.
C’est elle qui permet au médecin allergologue de déterminer le diagnostic le plus probable, les investigations nécessaires et les traitements à envisager.
Un premier traitement est prescrit d’emblée afin de soulager le patient.
Ces tests donnent une réponse rapide, permettant de confirmer le diagnostic suspecté lors de la première consultation.
Ces tests se pratiquent contre la plupart des allergènes provoquant des réactions immédiates et consistent à faire pénétrer de façon non douloureuse une très faible quantité d’allergène dans la peau :
Cet examen permet d’évaluer l’importance de l’asthme allergique et de l’inflammation bronchique
Il permet également de suivre l’évolution et la bonne marche du traitement.
Permet, si nécessaire, de rechercher les anticorps de l’allergie : Immunoglobulines de type E, et de rechercher la présence d’éosinophiles dans la formule sanguine.
Le test de provocation orale se pratique avec des aliments ou des médicaments.
Le test de provocation orale permet, en réalité, de démontrer l’absence de l’allergie, afin de soit réintroduire le produit incriminé, ou de déterminer une substance de remplacement, comme dans les cas d’allergie médicamenteuse où l’on cherche un antibiotique possible.
Ces tests permettent de rechercher les allergènes de contact, responsables d’eczémas allergiques de contact. Les tests peuvent être préparés à partir des substances suspectées (cosmétiques, etc.).
Ils consistent à mettre l’allergène en contact avec la peau, la lecture s’effectue 3 jours après.
Une fois l’allergène déterminé, il sera possible de l’éviter.
En fonction de l’histoire médicale, de l’examen clinique et des investigations, un traitement adapté est proposé.
A ce state, l’on est en mesure de décider si une désensibilisation est recommandée.